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Le Défi Bar !
Malgré quelques opportunités dans d'autres équipes, Jacques se lance dans un pari osé, celui de monter une écurie de F1 (sur les ruines du Team Tyrrell) avec son manager écossais Craig Pollock, elle s'appellera BAR pour British American Racing du nom de son sponsor principal British American Tobacco. En 1999, ils utilisent le moteur Supertec, c'est à dire, une évolution de l'ancien V10 Renault qui équipe aussi Benetton et Williams. De conception assez classique, la BAR PR01 démontre un certain potentiel, permettant à Jacques de signer quelques jolis coups en qualification. Mais la fiabilité est catastrophique, Villeneuve et son équipier Ricardo Zonta ne marquant pas le moindre point de toute la saison,après 11 abandons sucessifs du a des bris de toute sortes. L'année 2000 fut plus fructueuse ,avec quelques bon résultats, fini en quatrième position a quatre reprises et un total de 17 points a la fin de cette saison . Jacques arrivait a la fin de son entente avec Bar et reçu des offres de Renault et Mclaren pour piloter pour leur écurie . Mais Honda avec de belle promesse réussi a convaincre Jacques de demeurer a l'emploi de Bar . Gaffe monumentale qui changea a jamais le cour de la carrière d'un des grands et des plus spectaculaire que la F1 est connue. Dieu seul sais çe qu'il aurait accompli pour Renault ,Mclaren ou même Ferrari,par contre ,j'en ai une bonne idée ! Les années vont se succéder et les résultats ne s'amélioreront guère, BAR n'arrivant pas à produire une voiture à la hauteur des ambitions de Villeneuve, et cela malgré un budget conséquent et l'appui du motoriste Honda à partir de 2000. Mis apart leur premier podium en 2001, 4 années de résultats plus que moyens ne vont évidemment pas sans créer d'importantes secousses internes au sein de l'écurie. Lors de l'hiver 2001-2002, BAT retire la direction de l'écurie à Craig Pollock et le remplace par l'Anglais David Richards, éphémère directeur sportif de Benetton en 1998 mais surtout connu pour ses nombreux succès en Rallye avec sa struture Prodrive. Homme de caractère, Richards ne tarde pas à s'opposer à Villeneuve à qui il reproche son manque d'implication au sein de l'écurie ainsi que son salaire trop élevé. De son côté, Jacques digère mal la brutale mise à l'écart de son ami Craig Pollock. Le climat ne cesse de s'envenimer entre les deux hommes, et la position de Jacques apparait d'autant plus fragile qu'en 2003, il éprouve de plus en plus de difficultés à faire jeu égal avec son nouvel équipier, le jeune Britannique Jenson Button. Il est évident que Jacques n'a pas le support de David Richards qui s'amuse a salir Jacques sur la place publique ,il est normal de penser que Jenson Button était grandement favoriser par son équipe côté matériel ingénieur et support et stratégie, qui pour Villeneuve çe sont avéré plus que douteuse! Le conflit larvé entre Richards et Villeneuve aboutit finalement à la mise à pied du Canadien quelques jours avant le dernier GP de la saison au Japon et à son remplacement par le Japonais Takuma Sato. Trois grand disparue de la saison 2006,la fin d'un époque ! Le plateau étant verrouillé pour 2004 où presque toutes les grandes équipes ont conservé leurs pilotes 2003, Jacques ne trouve pas de volant et se voit contraint à une année sabbatique. Il continue pourtant à s'entrainer physiquement au cas où un volant se libérerait. La suite des évènements lui donne raison puisque Renault (revenu en F1 avec sa propre écurie) l'appelle en renfort pour les 3 dernières courses de la saison en remplacement de Jarno Trulli, en position délicate avec son employeur. Les 3 courses ne donneront rien malgré le matériel de qualité mis à sa disposition.Jacques a vraiment pas assez de temp pour apprendre a contôler la Renault qui est, des dires de Jarno Trulli ,très pointu et difficile a contrôler. Il signe dans la foulée avec l'écurie Sauber pour 2005.
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